Couché, nounours !
Quelques détails bizarres ; l’ours est blanc, donc il vient de sa banquise. Normalement, un ours, ça peut grimper aux arbres. Celui-ci en est empêché. Il gratte le tronc jusqu’à ce qu’il ait la forme d’un trognon de pomme.
Quelques détails bizarres ; l’ours est blanc, donc il vient de sa banquise. Normalement, un ours, ça peut grimper aux arbres. Celui-ci en est empêché. Il gratte le tronc jusqu’à ce qu’il ait la forme d’un trognon de pomme.
La branche, c’est la vie, qui un jour se fissure et se brise. Où en serai-je de ma relation à Dieu ce jour-là ?
Surprise ! Un miroir qui répond ! Ce lapin est tranquillement en train de se pomponner (noter la quantité de produits de beauté au dessus de la serviette) et son reflet lui demande d’aimer son prochain comme lui-même.
Le lapin qui fait résonner sa louange est derrière. (Dans un orchestre les percussions sont au dernier rang.) Ne pas confondre la louange (où on remercie Dieu pour ce qu’il EST) et l’action de grâces (où on le remercie pour ce qu’il FAIT). C’est plus facile de lui rendre grâce que de le louer. Et pourtant, l’être humain est créé pour louer Dieu.
Imagine quelqu’un de très brillant, qui a tous les diplômes dans tous les domaines. Quelqu’un qui sache tout, et qui sache tout faire. Cette personne ne marque rien sur son CV. Et quand elle est embauchée dans une entreprise, c'est pour prendre le balai et nettoyer le sous-sol.
La Parole de Dieu est vivante ! On le perçoit à plusieurs détails...
Ce lapin a quand-même un peu la pétoche pour deux raisons : 1. Il a peur de se faire mal en tombant, donc n’a pas trop confiance en Dieu… 2. Il se met un édredon devant lui, comme pour se protéger de Dieu. Le mettre derrière lui eût été plus judicieux.
Un lapin gris fier de son portefeuille, puisqu’il n’a pas construit cette voiture, il l’a « juste » acquise. L’autre lapin n’a qu’un outil en main, mais sans cet outil, la voiture est bonne à stationner dans le garage.
Le lapin gris éprouve le bleu. Il fait semblant de regarder ailleurs en détournant la tête, mais son regard observe les réactions du lapin bleu. Il tâte du doigt gauche le marteau, pour être sûr de sa dureté.
Ce lapin a une croix téléguidée, sur une voiture de course (pratique à porter). La croix n’est pas derrière lui, mais devant. Il veut la montrer. Il veut qu’on la voie. En plus, il l’évalue en y mettant un chiffre (le 1) ce qui signifie « je suis le meilleur, ma croix est la plus lourde, nananèèère ! ».
Un peu surpris, ce lapin… Surpris de la promesse de Dieu qui paraît être de la science-fiction… Il est, tranquille, dans le désert, sur son chameau. Il n’y a pas de relief dans sa vie. Horizon plat.
Ce lapin a les mains pures, c’est sûr ! Il a de beaux gants blancs. Sa langue est double, fourchue comme un serpent et rouge comme le sang. Visiblement, ses intentions ne sont pas pures, sinon que ferait-il avec une mitraillette et une cagoule ? Sa démarche aussi montre quelque chose de suspect…
À la question de Jésus « voulez-vous partir, me fuir, vous aussi ? », la réponse est claire : "OUI, et même tout de suite, et vite !"
Le dragon, c’est le diable. Le lapin, c’est le Christ qui vient de naître (on le reconnaît à son auréole dans laquelle on voit la croix). Le Christ « mènera les nations avec un sceptre de fer » ; sur le dessin, c’est son hochet, en forme de croix de fer, avec lequel il terrasse le dragon en lui en mettant « plein la vue ».
Un lapin se fait insulter au téléphone. J’ai exprès dessiné un vieux téléphone pour montrer que c’est lourd à porter, comme les paroles qu’il entend. Il serre les dents, regarde de l’autre côté, et met sa main sur l’appareil pour ne pas répondre. Il prend tous les moyens pour ne pas répondre. Sous le téléphone, il y a une liasse de feuilles, « les paroles s’envolent, les écrits restent », sauf que quelquefois les paroles qui ont blessé restent au fond de nous autant que les écrits.
Ce lapin cherche Dieu, loin, très loin, très très loin (regarde la taille du télescope). Il est surpris par quelqu’un (Dieu) qui est tout proche. On reconnaît l’ombre de Dieu par la croix sur le sol. Le lapin ne voit plus Dieu en l’air, dans le ciel, mais à son niveau, tout proche de lui.
Un lapin « pourri-gâté ». Face au don, à la gratuité, il continue à exiger, sans aucun « s’il te plaît » ou « merci ». Il est passif, couché dans l’herbe et les fleurs… Il regarde en arrière, et n’est pas digne du Royaume des cieux.
Le fond est rouge ; quand quelqu’un est énervé, ça met une sale ambiance autour de lui. Sauf qu’ici, le lapin de droite garde la paix et la tranquillité. Il a peut-être une solution à proposer… Sur ce dessin, je ne sais pas qui supporte qui. Tout est possible !