Pour aller plus loin
Détails :
- Le lapin sourit en pensant à ce qu’il serait sans la vie : un tas d’os, de peau, de muscles et de graisse. Certes, c’est déjà un sujet passionnant, complexe, mais il manque l’ essentiel…
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À gauche, le petit ver pense la même chose, à part que lui, il est un peu moins élaboré.
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Dans l’ordre de grandeur, une herbe l’est moins qu’un ver, un ver moins qu’un lapin, un lapin moins qu’un homme. Et Dieu est encore au-dessus de tout !
Questions :
- Si on reprend la parole du livre de la sagesse, on voit le but de Dieu : créer pour une subsistance, créer pour durer.
- Il y a une formule qui ne me satisfait pas, concernant les avis de décès : « Il a plu au Seigneur de rappeler à lui X ou Y ». Comme si le Seigneur se complaisait à cela, lui qui a fait les choses et les personnes pour qu’elles subsistent.
- Et moi, est-ce que je tisse des relations pour qu’elles subsistent ? Est-ce que je construis pour que ça subsiste ? Quelle est la direction que je voudrais montrer ? Me prend-on au sérieux ? Est-ce que ça m’affecte ?
Dessin et questions à partir des lectures qui seront lues le dimanche 1er juillet, 13e dimanche du temps ordinaire – année B
- 1ère Lecture : Sagesse 1, 13-24
- Psaume 29
- 2e Lecture : 2 Corinthiens 8, 7-15
- Évangile : Marc 5, 21-43
Avec l’aimable autorisation de l’auteur.
Le lapin bleu, c’est aussi un blog, des BD, un prêtre. Pour en savoir plus : http://lapinbleu.over-blog.net/
Bonjour lapin bleu
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Oui mais alors que dire lorsqu’un enfant meurt,
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Si en plus des religieux affirment que sa mort est un signe de Dieu parce que ses parents ont péchés,
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Une maxime dit que les Enfants sont notre avenir.
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Il aurait 20 ans cette année,
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Bon dimanche, malgré la pluie qui s’annonce.
“Lapin bleu”, je t’aime bien, mais cette fois tu me perturbes et le Livre de la Sagesse aussi : moi, je suis un peu vieille, il m’arrive d’imaginer ma mort ; donc nous sommes trois : Dieu, elle et moi.
Dieu ne veut pas ma mort (il m’a fait pour subsister). La mort évidemment si (elle personnifie le démon). Alors, moi, pour plaire à Dieu, je dois vivre ? Je croyais que c’était un signe d’Amour de se laisser aller, tout doucement, pour Le rejoindre…