Salle comble au centre diocésain à Gap en ce jeudi 8 février 2018 pour l’avant-première du film d’Isabelle Ros retraçant le parcours de trois prêtres haut-alpins. À voir sur France 3 le lundi 19 février après le Soir 3.
Par Eliane Tourtet

Isabelle Ros a suivi les pérégrinations de trois prêtres haut-alpins, été comme hiver, dans des villages isolés. Messes, mariage, funérailles, catéchisme ou moments quotidiens, le film dépeint la vie d’un curé de campagne.
C’est une belle vocation
Trois hommes pour trois parcours engagés dans le même sacerdoce. De Guillestre à Embrun, André Bernardi exerce son ministère en montagne depuis longtemps. Édouard Le Conte a 30 ans, il vient de Paris pour prendre ses fonctions à Vallouise. Quant à Joseph-Charles Mbogba, il est à Laragne et repartira au Cameroun dans deux ans.
Extrait du film
28 cimetières à bénir
Chacun évoque ses journées bien chargées et les déplacements d’un village à l’autre. Ils s’interrogent sur les fidèles de moins en moins nombreux, sur un monde où la prière n’a plus sa place.
Se coucher pas trop inquiet le soir
Selon leurs tempéraments, ils parlent de leur engagement et de leur vie avec conviction, un peu de fatalisme parfois. Avec humour aussi. Les rires dans la salle en témoignent.
Le documentaire coproduit par France 3 Provence Alpes et AMDA Production sera diffusé le lundi 19 février après le Soir 3
Lire : France 3 PACA
ET bien ce documentaire est pathétique. Quelle tristesse !! Ça donne pas envie et c’est précisément un cache misère.
Courage à eux !!!
Très perplexe !
D’accord avec Claire !
Mais j’ajoute une nuance importante. Depuis que Mgr Malle est arrivé aux commandes, on observe qu’il ne manque pas de remettre en place quelques intégristes, un groupuscule ultra cléricaux et imbus de leur personne.
La bonté et la rigueur de l’évêque font vraiment du bien à notre diocèse qui en avait grand besoin.
Claire, gardez le moral, tout ira mieux avec Mgr Malle !
Le père Charles de Foucauld a célébré seul pendant des années et son ministère a été très fructueux. Personnellement je pense qu’il est important d’avoir une présence eucharistique dans les déserts spirituels.
Cet extrait est une caricature… dommage.
Il existait aussi des équipes diocésaines dynamiques et enthousiastes, à l’époque.
Par exemple, l’équipe de la Pastorale Liturgique et Sacramentelle (un prêtre travaillant en co-responsabilité avec 6-8 laïcs) :
Préparation des liturgies diocésaines, soutien et formation des équipes liturgiques locales, coordination des propositions pour les servants d’autel, formation au chant liturgique partout dans le diocèse (« Chantons en diocèse »), animation d’un choeur comportant des choristes de TOUT le diocèse.
Il existait un élan, une communion diocésaine qui, si elle était accueillie, pouvait dynamiser les communautés…
Mais… lorsque le prêtre en responsabilité a changé… l’équipe n’a plus été réunie, même si elle a manifesté son désir de poursuivre son travail.
Pourquoi donc ???
Alors, s’il vous plaît, stop aux caricatures !
En vous remerciant vivement si vous publiez ce message.